détergermination

Impossible poésie pendant un mois.
Enfin, peu de lectures, c'est trop tentant (de s'y laisser choyer) et je ne peux pas.
Du kung fu modérément, une fois par semaine ― j'ai dû me désister pour le passage de grades du 16 mai. Je passerai probablement mon premier degré en septembre.

Tout de même,
une pause :
gratter superficiellement une citation dans mes livres
pour me dégourdiner
me débourriner
du matin Cnam aprèm législatives
ou l'inverse, l'intercalé.

Je retrouve
là
une tension de la détermination, c'est une chose agréable
qui me permet d'oublier que je n'ai pas de réponse ni de signal suite à mes 24 questions enfin dites.
Finalement, ce n'est pas une surprise, et ce n'est pas un hasard si
avant 27 ans ― au moins ― je ne posais jamais de questions,
                       en aucun cas, à personne. J'ai encore du mal, cela ne m'est pas naturel.

Il semble que certaines choses définitives soient en cours.
Je ne pensais sincèrement pas que c'était à ce point.

Bon,
pause :
"Le grand registre est posé sur la table ouvert. A tout moment, l'une d'entre elles s'en approche et écrit quelque chose. Il est difficile de le compulser parce qu'il est rarement disponible. Même alors, il est inutile de l'ouvrir à la première page et d'y chercher un ordre de succession. On peut le prendre au hasard et trouver quelque chose par quoi on est concerné."
Monique Wittig. Les Guérillères.