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Sherlock


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26 avril 2007 4 26 /04 /avril /2007 18:26

un peu comme l'homme qui rétrécit qui aurait une crise de fou rire,

puis salade avec du gruyère et de la mayonnaise — surprenant,
un caissier qui note que j'achète Rosa Luxemburg et qui me parle d'utopies urbaines et de Marx,
un garçon verbalement pressé capable de faire deux à trois choses en même temps
qui me donne son numéro d'identifiant de la librairie avant son prénom !

de la bicyclette dans Paris comme une voiture ferait un tour de périphérique,
mental rouge néon,

depuis deux ou trois jours, je lis Fritz Zorn, Mars, cité par Dali,
étonnant,
une écriture "classique", un Claude Lévi-Strauss de l'introspection,
comme un
triste tempéré.
Je reprends à mon compte : "mes pauvres parents".
Je comprends : "être éduqué à mort".
— Malgré tout, ce ne sont pas des mémoires déprimantes à lire.

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cadratin : ALT + 0151

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commentaires

D
Mais je me nourris aussi beaucoup des citations que tu mets sur le tien :) J'apprécie énormément cet échange en tout cas, merci !
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D
Contente que ce livre te plaise (je dois dire que moi il m'a fait un sacré effet).
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A
Ah oui, c'est un livre vraiment nécessaire ! qui remue certains tabous et éclaire certaines hontes. Les deuxième et troisième parties sont rédigées avec moins de distance, on sent qu'il n'a malheureusement pas eu le temps de finir son combat... La différence entre les deux tons et rythmes donne aussi à penser. Et, plus personnellement, j'avais encore un peu de mal à remettre mes parents à leur place, ce livre y a contribué (c'est pas trop tôt) !On dirait que je profite pas mal des références que tu donnes sur ton blog :)